Ou 48. Ou 49. Plus le temps passe, moins je sais où j’en suis…. Je pense que j’ai séché 3 soirs, vu qu’hier j’étais bien motivé jusqu’au moment où je me suis endormie comme un gros caca devant ma série. Et après bien sûr c’était foutu pour me lancer dans un éditing/retouche/export/écriture/mise en page, parce que faut quand même que je vous avoue que je passe facile 1h30 tous les soirs devant mon ordi pour pondre mes articles. C’est du boulot mine de rien ! La partie sélection-retouche ça va j’ai l’habitude, mais l’écriture il y a des jours où ça va tout seul et d’autres ou c’est moins évident.
Oui je me sens tenue de me justifier pour cette absence intolérable. A qui je sais pas, peut-être à moi juste, parceque hier j’étais pas contente, je me suis habituée à mon petit rendez-vous avec moi-même le soir quand tout le monde est couché.
Et figurez-vous que j’ai encore failli sécher ce soir car je me suis fait une séance de ciné-thé-confiné « Quand baleines et tortues nous montrent le chemin« , que je vous conseille vivement, c’est doux et beau et plein de love.
Toujours est-il que pendant ces 3 jours on a découvert un nouveau chemin à moins de 1km de chez nous. Bon, ça grimpe un peu, mais c’est quand même fou qu’on prenne ce chemin pour la première fois alors qu’on vit ici depuis 6 ans ! Comme quoi le confinement ça nous emmène pas seulement à la découverte de nous-mêmes, mais aussi à celle de notre quartier…